Festival de Deauville page 5

[DEAUVILLE] "White Bird" : drame familial en disparition majeure

Figure emblématique du cinéma américain indépendant, aux films anticonformistes consacrés pour beaucoup à la jeunesse, à 55 ans Greg Araki en est à son 12e long métrage avec "White Bird" en compétition à Deauville. Son casting : Shailene Woodley, vue récemment dans "Nos étoiles contraires", "Eva Green" et Angela Bassett. Araki avait remporté la Queer Palm au Festival de Cannes 2010 pour "Kaboom".

[DEAUVILLE] Rencontre avec la chorégraphe et jurée Marie-Claude Pietragalla

La chorégraphe Marie-Claude Pietragalla est l'un des membres du jury du Festival du Cinéma Américain dont la 40e édition se poursuit jusqu'au 14 septembre 201. Elle partage cette charge et cet honneur avec Constantin Costa-Gavras, président, Jean-Pierre Jeunet, Vincent Lindon, Claude Lelouch, Pierre Lescure et André Téchiné.

[DEAUVILLE] "Jamie Marks Is Dead" : l’adolescence fantomatique américaine

Deuxième long métrage de Carter Smith, "Jamie Marks Is Dead", en compétition, est sa seconde incursion dans le fantastique, après "Les Ruines" (2008). Ce nouvel opus est toutefois plus sociétal, moins accès sur le genre, s’avérant très métaphorique autour de l’adolescence, vue comme la mort de l’enfance, son fantôme hantant le passage à l’âge adulte. Beau, profond et poétique.

[DEAUVILLE] "Uncertain Terms": désordre amoureux dans un foyer de jeunes filles

Réalisateur, scénariste et acteur de "Uncertain Terms", Nathan Silver signe son quatrième long métrage, pour la première fois en compétition à Deauville. Son sujet délicat reflète son intérêt pour la place de la jeunesse dans la famille américaine, décelable dans ses autres films. Il fait appel ici à un casting d'actrices qui mériteraient un Prix d'interprétation collectif.

[DEAUVILLE] "The Good Lie" : les USA s'auto-congratulent sur leur B.A africaine

"The Good Lie", du Québécois Philippe Falardeau, qui avait fait un mini-scandale avec l'écriture d"Au nom du fils", est son premier film en anglais sous bannière américaine et en compétition. Du Soudan aux Etats-Unis, le destin exceptionnel de quatre jeunes réfugies recueillis par Reese Witherspoon que l'on retrouve toujours avec plaisir en tête de distribution. Quant au film en lui-même...

[DEAUVILLE ] "The Better Angels" : Lincoln dans l'ombre de Terrence Malick

Premier film de A. J. Edwards, "The Better Angels", en compétition à Deauville, est le deuxième de la sélection avec Brit Marling, à l'affiche de "I Origin", et de Ves Bentley ("Things People Do"). Le réalisateur, à l'origine monteur pour Terrence Malick, signe également le scénario, mais l’influence du réalisateur de "The Tree of Life" y est toutefois trop hégémonique...

[DEAUVILLE] le festival rend hommage à Ray Liotta

L'un des hommages rendus par le 40e festival du Film Américain de Deauville est allé à Ray Liotta. A 59 ans, cet acteur qui fut l'un des "Affranchis" de Martin Scorsese n'a rien perdu de la fascination qu'engendre son regard léonin. Il a reçu avec humour le discours faussement humble et très drôle prononcé par Vincent Lindon, l'un des membres du jury de cette édition.

[DEAUVILLE] "War Story" : état de guerre morphique

Réalisateur, scénariste, producteur et acteur, Mark Jackson est apparu pour la première fois à l'écran en 1987 dans "Bad Taste" le premier film déjanté de Peter Jackson. "War Story", en compétition, est son deuxième long métrage après "Without" (2012). Il bénéficie ici des fortes présences de Catherine Keener ("New York Melody"), en femme photographe de guerre aguerrie, et de Ben Kingsley.

[DEAUVILLE] "Camp X-Ray" : Kristen Stewart à Guantanamo

Pour son premier film, Peter Sattler n’a pas choisi la facilité. Scénariste, sur un sujet original, et réalisateur de "Camp X-Ray", il traite du délicat sujet de Guantanamo, où sont "détenus" des suspects gravitant autour des attentats du 11 septembre 2001 et d’Al Qaida. Une gageure. De plus, avec une femme militaire dans le rôle principal. Mais une formidable Kristen Stewart est à la rescousse.

[DEAUVILLE] Le discours brûlot de John McTiernan sur l'Amérique

Invité par le Festival de Deauville, où il a donné une master class lundi, le réalisateur John McTiernan ("Piège de cristal", "Predator"...) a reçu un hommage mardi soir. Il a profité de cette occasion pour donner son image, très sombre, des Etats-Unis actuels, sous la forme d’un véritable brûlot politique improvisé.

[DEAUVILLE] Hommage à Jessica Chastain en ouverture

Pierre Lescure, président du Festival de Deauville en 2002, actuellement président du Festival de Cannes, et cette année membre du jury de la 40e édition, a ouvert les festivités. La cérémonie a enchaîné plusieurs hommages dont le principal saluait la récente mais riche carrière de Jessica Chastain.

[DEAUVILLE] "Les Recettes du bonheur" : "Ratatouille" sauce curry

Suédois, Lasse Hallstöm était bien parti au début de sa carrière avec "Ma vie de chien" et "Gibert Grape", où il révélait un jeune acteur prometteur : Leonardo DiCaprio. Inégal au regard d'une filmographie fournie, expatrié aux Etats-Unis, les choses se son gâtées ("Le Chocolat", "L’Oeuvre de Dieu, la Part du diable"...). Il touche le fond avec "Les Recettes du bonheur", en Première à Deauville.

[DEAUVILLE] Il y a 40 ans, Hollywood débarquait en Normandie

Le 3 septembre 1975, l’emblématique maire de Deauville Michel d’Ornano lançait la première édition du festival du cinéma américain. Le début d’une grande aventure qui allait voir défiler dans la chic station balnéaire normande les plus grandes stars d’Hollywood. Retour sur cette première édition

[DEAUVILLE] "Things People Do" : un thriller familial et éthique mollasson

Saar Klein signe son premier film après avoir été monteur, notamment de Terrence Malick sur "La Ligne rouge","Le Nouveau monde", et sur "La Mémoire dans la peau" de Doug Liman. Il signe ici un thriller, en compétition, avec Wes Bentley, également à l'affiche de "The Better Angels" à Deauville et bientôt à celle d'"interstellar" de Christopher Nolan. "Things People Do" : peut mieux faire.

[DEAUVILLE] "Juillet de sang" : thriller haletant au casting d'enfer

Jim Mickle, réalisateur du très dérangeant "We Are What We Are", en compétition l'an dernier à Deauville, sorti directement en DVD le 3 septembre, revient cette année sur les planches avec "Juillet de sang", un thriller autour de l'autodéfense, dans lequel sont réunis Michael C. Hall, l'interprète de "Dexter", Sam Shepard, Vinessa Shaw ("Two Lovers) et Don Johnson ("Django Unchained").

[DEAUVILLE] "A Girl Walks Home Alone at Night" : vampire à l'iranienne

Etonnant de voir une coproduction américano-iranienne, sans doute la première de l'histoire du cinéma, vus les rapports houleux entre les deux pays. D'autant qu'il s'agit d'un film de vampires, doublé d'une histoire d'amour, dénonciatrice du climat antiféministe en Iran, lieu de l’action, le vampire étant une femme revendicatrice. Le premier film de la compétition deauvilloise est de bon augure.

[DEAUVILLE] "Un homme très recherché" : un des derniers Philip Seymour Hoffman

Réalisé par Anton Corbjin, "un homme très recherché" se réclame du film d'espionnage pur et dur, adapté du maître du genre John Le Carré, sur le post 11 septembre 2001. Le cinéaste avait réalisé auparavant le magnifique biopic sur Ian Curtis, chanteur de Joy Division, et "The American" avec Georges Clooney. Le film est un des quatre derniers interprétés par Philip Seymour Hoffman avant son décès.

[DEAUVILLE] Les 10 photos de la soirée d'ouverture

Le 40e festival du Cinéma américain de Deauville s'est ouvert vendredi soir, marqué par plusieurs hommages, notamment celui rendu à l'actrice Jessica Chastain. Culturebox a sélectionné 10 photos marquantes de cette soirée d'ouverture.

Le 40e Festival du cinéma américain de Deauville s'ouvre ce soir : la sélection

Le 40e Festival du cinéma de Deauville se déroule jusqu'au 15 septembre. La sélection est composée de 14 films en compétition, dont quatre premiers films, de plusieurs hommages et avant-premières. La cérémonie d'ouverture sera l'occasion d'un hommage à Jessica Chastain, avant la première projection du nouveau film de Woody Allen, "Magic in the Moonlight".

[DEAUVILLE] "Alex of Venice", le premier film de l'acteur Chris Messina

[DEAUVILLE] "A Girl Walks Alone in the Dark" : vampire story

Etonnant de voir une coproduction américano-iranienne, sans doute la première de l'histoire du cinéma, ou du-moins depuis fort longtemps, d'autant qu'il s'agit d'un film fantastique, plus exactement de vampires, doublée d'une histoire d'amour. Des sujets que l'on n'attendait pas vu le climat religieux iranien. La photo noir et blanc du film est par ailleurs prometteuse.

[DEAUVILLE] "Légendes vivantes", la nouvelle comédie avec Will Ferrell

[DEAUVILLE] "I Origins" : science, amour et spiritualité

Après le très original "Another Earth", Mike Cahill continue dans veine iconoclaste avec une histoire où science et amour s'emmèlent. Il retrouve dans "I Origins", en compétition, l'héroïne de son précédent film, Brit Marling, à laquelle il adjoint Michael Pitt, vu notamment dans "7 psychopathes" et "Hugo Cabret".

[DEAUVILLE] "Camp X-Ray"

[DEAUVILLE] "Chef"

[DEAUVILLE] "Juillet de sang" : thriller au casting d'enfer

Jim Mickle, réalisateur du très dérangeant "We Are What We Are", en compétition l'an dernier à Deauville et qui sort directement en DVD le 3 septembre, revient cette année sur les planches avec "Juillet de sang", un thriller autour de l'autodéfense, dans lequel sont réunis Michael C. Hall, l'interprète de "Dexter", Sam Shepard, Vinessa Shaw ("Two Lovers) et Don Johnson (Django Unchained".

[DEAUVILLE] "Love Is Strange" : les vertiges de l'amour

Encore un beau casting à l'affiche de "love Is Strange", en compétition à Deauville, où figurent Alfred Molina, John Lithgow et Marisa Tomei. Histoire d'un vieux couple gay, le film a reçu un excellent accueil de la presse américaine. Son réalisateur Ira Sachs avait remporté le Prix Teddy du meilleur film gay ou transgenre à Berlin en 2012 avec "Keep the Lights On".

[DEAUVILLE] "Deepsea Challenge 3D", le pari fou de James Cameron

[DEAUVILLE] "Get on up", le biopic sur la vie de James Brown

[DEAUVILLE] "The Good Lie" : quatre destins d'exception

"The Good Lie", du Québécois Philippe Falardeau, qui avait fait un mini-scandale cette année avec "Au nom du fils", est son premier film en langue anglaise sous bannière américaine et en compétition. Du Soudan aux Etats-Unis, le destin exceptionnel de quatre jeunes refugiés recueillis par Reese Witherspoon que l'on retrouve toujours avec plaisir en tête de distribution.