1er-Mai : chahuté, Raphaël Glucksmann contraint de quitter le défilé à Saint-Étienne
Des jets de projectiles et de peinture, des cris. Ce mercredi 1er mai, à Saint-Étienne (Loire), Raphaël Glucksmann, tête de liste socialiste aux européennes, a été pris à partie. Un groupe de militants lui a reproché une position trop timide sur bombardements à Gaza. Contraint de quitter le cortège, il a accusé la France Insoumise : "Ces gens ne sont pas des démocrates."
La classe politique dénonce l’action
En tête dans les sondages à gauche, Raphaël Glucksmann est la cible des Insoumis. Mais Jean-Luc Mélenchon a récusé les accusations, tout en condamnant l’agression du candidat. Sur les images, on distingue des drapeaux de la France insoumise mais aussi ceux des Jeunes communistes de la Loire, qui ont revendiqué leur action sur les réseaux sociaux, ce qu'a déploré leur tête de liste. Des tensions au sein de la gauche dont comptent bien profiter la droite comme l’extrême droite.
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