1er-Mai : le gouvernement sous haute tension
Emmanuel Macron et le gouvernement suivront de près l'évolution d'un 1er-Mai à très haut risque sécuritaire et politique.
Les manifestations du mercredi 1er mai pourraient bien tourner à l'affrontement entre les forces de l'ordre et les quelque 2 000 membres de "black blocs" attendus dans les rues de la capitale. Un dispositif exceptionnel a été mis en place par Christophe Castaner, et Emmanuel Macron suivra la situation de près depuis l'Élysée. "C'est un 1er-Mai à haut risque d'un point de vue politique", explique Hélène Hug en direct depuis l'Élysée.
Macron "serait tenu pour responsable"
"Et signe de l'inquiétude qui règne au sommet de l'État, Emmanuel Macron a expressément demandé ce matin (mardi 30 avril) en conseil des ministres la plus grande fermeté face aux casseurs, rapporte la journaliste de France 2. Pour le chef de l'État, l'enjeu est de taille. Car si Paris devait être demain à feu et à sang (...) il serait tenu pour responsable", indique Hélène Hug.
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