Tourisme : les vestiges de l’Indochine au Cambodge
Le Bouddha géant semble veiller sur une petite ville désormais abandonnée. Avec son air frais à plus de 1000 mètres d’altitude, Bokor fut, au temps de l’Indochine française, un lieu de villégiature prisé par les élites coloniales et la famille royale cambodgienne. Résidences confortables, palais, hôtels de luxe… Aujourd’hui, tout n’est plus que ruines et graffitis.
Un vestige de l'Indochine
Pour atteindre Bokor, il faut emprunter une route de montagne de 30 km où l’on croise inévitablement des centaines de singes. Une église à l’abandon se trouve sur le chemin. Depuis quatre ans, Heang Sacheat est guide touristique dans la région. Il connaît les moindres détails de l’église construite dans les années 1920 et fréquentée de temps en temps par quelques fidèles.
Le temps d’un week-end, plusieurs centaines de Français séjournaient à Bokor. Certains d’entre eux étaient invités dans une modeste résidence royale construite à la fin des années 1930.
Regardez l'intégralité du reportage dans la vidéo ci-dessus.
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