SNCF : les chèques vacances en papier ne sont plus acceptés

Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min - vidéo : 1min
SNCF : les chèques vacances en papier ne sont plus acceptés
SNCF : les chèques vacances en papier ne sont plus acceptés SNCF : les chèques vacances en papier ne sont plus acceptés (France 2)
Article rédigé par France 2 - O. Poncelet, H. Bqbay, N. Salem, L. Lavieille
France Télévisions
À de très rares exceptions, les chèques vacances en papier ne permettent plus, depuis le 1er janvier, de payer les billets de train. Il reste cependant possible de les dématérialiser moyennant une somme d’argent.

Payer son billet de train avec des chèques vacances en papier, depuis le mercredi 1er janvier, ce n’est plus possible. La SNCF ne les accepte plus. "Je pense que ça peut être un peu compliqué, notamment pour les personnes les plus âgées", estime un usager. "Moi, je trouve ça plutôt pas mal d’un point de vue écologique", indique une autre. Un million de chèques vacances en papier sont utilisés tous les ans pour payer des trajets en train, ce qui représente 2 % des achats de billets. Depuis l'an dernier, la majorité des chèques utilisés sont des chèques dématérialisés. La SNCF veut donc accélérer cette transition vers le tout numérique.

10 euros pour dématérialiser à volonté

Pourtant, la version papier ne disparaît pas complètement. Il sera encore possible de l'utiliser, mais uniquement en régions et dans certains guichets. "Si vous arrivez avec vos chèques vacances à votre guichet TGV, ils ne seront pas acceptés. Si vous allez dans un guichet TER qui vend du TGV, il acceptera vos chèques vacances", précise François Delétraz, président de la FNAUT. Pour ceux qui ont des chèques vacances en papier, il est toujours possible de les transformer en chèques numériques. Pour cela, il faut aller sur le site de l'agence nationale des chèques vacances, mais ce service coûte 10 euros. Un tarif qui permet de numériser autant de chèques papier que l'on veut.

Regardez l'intégralité du reportage dans la vidéo ci-dessus.

Lancez la conversation

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour commenter.