Isère : après Vencorex, l'usine Arkema entre en grève

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Le chimiste Vencorex n’a reçu qu’une offre de reprise qui ne conserverait que 25 salariés sur les 450 que compte le site de Pont-de-Claix (Isère), près de Grenoble.
Grève Le chimiste Vencorex n’a reçu qu’une offre de reprise qui ne conserverait que 25 salariés sur les 450 que compte le site de Pont-de-Claix (Isère), près de Grenoble. (France 2)
Article rédigé par France 2 - M. Damoy, S. Ripaud, France 3 Grenoble
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Le chimiste Vencorex n’a reçu qu’une offre de reprise qui ne conserverait que 25 salariés sur les 450 que compte le site de Pont-de-Claix (Isère), près de Grenoble.

En grève en soutien à l'entreprise voisine, les salariés de l’usine chimique d’Arkema sont mobilisés. Un sous-traitant a été placé en redressement judiciaire. "On a entamé une grève par solidarité et aussi parce qu'on est inquiet pour le devenir du fait que on est tous interdépendants", explique un syndicaliste. "On ne va pas laisser choir l’usine avec 500 bonhommes", ajoute un salarié.

Un seul repreneur

Tous craignent un effet domino, car ce sous-traitant leur fournit le sel, indispensable à leurs activités : la fabrication du chlore. Sans ça, l’usine d’Arkema est menacée. Les salariés d’usine d’à côté sont en grève. Un seul repreneur s'est manifesté : leur concurrent chinois plus compétitif. Problème : sur 450 emplois seuls, 25 seraient préservés.

Regardez l'intégralité du reportage dans la vidéo ci-dessus.

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