Manuel Valls invité d'ONPC : quelques minutes de tension, pas de dérapage
L’écueil a été évité. Bien sûr, l’arrivée du Premier ministre a été un peu scénarisée, sur le ton de l’humour. Mais en plus de deux heures d’interview, la seule tension aura duré six minutes, en toute fin de séquence. L’humoriste Jérémy Ferrari a critiqué entre autres la présence du dictateur gabonais Ali Bongo à la marche du 11 janvier. Au terme d’un échange décousu, la réponse est dans le ton d’une émission sans dérapage : "Quand il y a du talent, on peut débattre ".
A plusieurs reprises, le Premier ministre est attaqué sur la déchéance de nationalité, le Premier ministre défend sa mesure.
Interrogé sur l’opportunité d’une primaire à gauche, Manuel Valls déclare qu’il est contre. François Hollande est le candidat naturel dit-il. Loyal. Mais comme l’émission était enregistrée, il n’a donc pas pu réagir à ce sondage connu dès hier soir : et qui sacre son ministre de l’économie, Emmanuel Macron, meilleur candidat de la gauche en 2017.
Le dessin choisi par @manuelvalls #ONPC pic.twitter.com/cpjToEnk6q
— On n'est pas couché (@ONPCofficiel) January 17, 2016
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