Cet article date de plus de cinq ans.

En images Vitrines brisées, façades incendiées, boutiques pillées... Les Champs-Elysées, le jour d'après

Article rédigé par franceinfo
France Télévisions
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min

Lors de la 18e mobilisation des "gilets jaunes", samedi 16 mars, des scènes d'émeutes et de pillages ont eu lieu sur la célèbre avenue de Paris.

Les commerçants estiment que 50 magasins de l'avenue ont été touchés à des degrés divers. Au lendemain des violences qui ont éclaté à Paris lors de la manifestation des "gilets jaunes", les Champs-Elysées affichent un visage bien particulier. Dimanche 17 mars, des Parisiens curieux, des touristes étrangers sous le choc ou encore des "gilets jaunes" viennent constater le résultat des violences, sur fond de bruit de perceuses et de verre que l'on piétine.

> Suivez les réactions au lendemain des manifestations

Samedi, les incidents les plus impressionnants se sont en effet concentrés sur la célèbre avenue de la capitale, point de rendez-vous stratégique de la plupart des manifestants. Plusieurs boutiques ont été pillées et des immeubles ont été incendiés. En marge des manifestations, 237 personnes ont été interpellées et 200 d'entre elles placées en garde à vue, d'après le parquet.

Un agent nettoie le trottoir, recouvert de débris de verre. (GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP)
Des travailleurs installent des structures en bois pour remplacer les vitrines brisées, en haut des Champs-Elysées. (GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP)
Un homme prend des photos des dégâts, au lendemain des manifestations sur les Champs-Elysées, à Paris. (GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP)
Des passants marchent devant la boutique Longchamp, dont les vitrines ont été remplacées par des panneaux de bois. (GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP)
Les terrasses de la brasserie le Fouquet's sont dissimulées derrière des panneaux noirs. (GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP)
Un tag "A la semaine prochaine" est visible sur la devanture de la boutique du bijoutier Cartier. (GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP)
"15 mars : fin du faux débat. 16 mars : suite du grand débat", peut-on lire sur des panneaux. (GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP)
Des passants observent la boutique Ladurée, dont les vitrines sont cassées. (RAFAEL YAGHOBZADEH/AP/SIPA / AP / SIPA)
Des personnes mettent en place des protections sur les façades du Fouquet's.
 (RAFAEL YAGHOBZADEH/AP/SIPA / AP / SIPA)
"Pas de 'Cartier' pour le sbourgeois" ont écrit des manifestants près de l'Arc de triomphe. (GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP)
Des cyclistes prennent en photo les tags sur les Champs-Elysées. (GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP)

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.