"Est-ce que je suis fou, si..." : Georges Tron se défend
Le député-maire UMP de Draveil, accusé de viols en réunion et agressions sexuelles par deux ex-employées municipales, s'est défendu, sur Canal+, en taxant le Front national de complot.
Georges Tron est accusé de viols en réunion et d'agressions sexuelles par deux ex-employées municipales. Invité du "Grand journal" de Canal+, vendredi 11 mai, le député-maire UMP de Draveil (Essonne) s'est défendu en accusant le Front national de comploter contre lui. "Est-ce que je suis fou, si..", a répété l'ancien secrétaire d'Etat à plusieurs reprises, usant ainsi d'une anaphore, une figure de style remise à la mode par François Hollande lors du débat télévisé de l'entre-deux-tours de la présidentielle.
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