Cet article date de plus de huit ans.

Serge Aurier relâché et convoqué au tribunal le 26 septembre

La garde à vue du joueur du PSG s'est terminée à la mi-journée mardi à Paris. Selon les informations recueillies par France Info, le footballeur sera convoqué en correctionnelle pour "violences volontaires".
Article rédigé par Olivier Boy
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
  (Le joueur du PSG, Serge Aurier, était entendu par la police depuis lundi © SIPA)

La garde à vue de Serge Aurier est terminée, a appris mardi midi France Info. Le joueur du PSG est convoqué devant le tribunal de correctionnel de Paris le 26 septembre pour "violences volontaires sur personne dépositaire de l'autorité publique", en l'occurence un policier. 

A LIRE AUSSI ►►►Serge Aurier, joueur du PSG, en garde à vue après une altercation avec la police

Le footballeur du PSG avait été conduit lundi dans un commissariat parisien après un contrôle policier à la sortie d'une boîte de nuit. La garde à vue du footballeur a duré 36 jeures. Elle avait été prolongée, en raison notamment de versions contradictoires sur le déroulé du contrôle. La justice a eu besoin de temps pour démêler le vrai du faux dans cette affaire où deux versions contradictoires s'opposent. Selon la déclaration du policier, Serge Aurier a refusé de sortir du véhicule et l'a ensuite frappé d'un coup de coude dans le thorax. Le défenseur du PSG soutient, quant à lui, que c'est le policier qui a été très agressif. Le footballeur conteste avoir donné ce coup de coude.

La garde à vue a été prolongée pour des raisons de procédure également puisque Serge Aurier avait souhaité se rendre à l'hôpital pour faire constater une blessure à la lèvre. Selon l'entourage du joueur, il envisage de porter plainte pour violences policières, même si la plainte n'a pas encore été enregistrée formellement par la justice. Serge Aurier et le policier qui l'accuse, devaient être confrontés lundi soir au commissariat du VIIIe arrondissement de Paris.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.