Inondations : l’heure des comptes avec les assurances
"Ce qu’on a mis à gauche, cela va être tout ce qui va être pour l’assureur, pour qu’il vienne chiffrer les dégâts", confie Théo Verlenne, fils du propriétaire de la brasserie "La bonne franquette". Après les inondations, à Arques (Pas-de-Calais), l’heure est aux comptes. Samedi 11 novembre, l’eau est montée jusqu’à 1 mètre 80 dans la cave de cette brasserie sur la place d’Arques. L’assureur doit passer mardi.
11 salariés au chômage partiel
"Qu’on puisse rouvrir le plus rapidement possible. Nous, c’est juste cela que l’on souhaite : pour les employés revenir travailler, revoir les clients, c’est le plus important", précise Théo Verlenne. Pour son voisin, entrepreneur des pompes funèbres, il y a déjà huit jours de perte d’exploitation. Ses 11 salariés sont au chômage partiel et il ne sait toujours pas comment il sera indemnisé. "On ne voit pas d’expert donc cela commence à être lourd pour nous", indique Olivier Vasseur, entrepreneur de pompes funèbres. Tous espèrent une intervention rapide des assurances.
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