: Vidéo Réseaux sociaux : enquête sur les nouvelles dérives sectaires en ligne
Pendant neuf mois, Sophie a vécu sous l’emprise de naturopathes, pseudo-thérapeutes et autres complotistes. "C’est la pire période de ma vie, j’étais l’ombre de moi-même. Quelques mois en plus, je me serais probablement suicidée", affirme-t-elle. Romain, lui, a vu la mère de ses enfants embrigadée par une femme qui se présente comme un guide spirituel. Les gourous 2.0 inondent internet de leurs discours toxiques et dangereux.
Des mouvements qui inquiètent la Miviludes
Pour Sophie, tout commence pendant l’épidémie de Covid-19. Elle se fait vacciner et se pose beaucoup de questions. Elle pense trouver les réponses sur Internet. On lui fait croire que des micro-puces lui ont été injectées et qu’elle va mourir. Elle finit par ingurgiter du dioxyde de chlore, liquide dangereux, censé annuler les effets du vaccin. À l’autre bout de la France, Romain livre un combat éprouvant car la mère de ses enfants a été happée dans un mouvement qui inquiète beaucoup les autorités françaises, notamment la Miviludes chargée des dérives sectaires.
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