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Algérie : une semaine de contestation contre la candidature de Bouteflika en photos

Article rédigé par Mohamed Berkani
France Télévisions - Rédaction Culture
Publié

L’Algérie vit au rythme de manifestations quotidiennes depuis la grande marche du vendredi 22 février contre la candidature du président Abdelaziz Bouteflika à un 5e mandat.

Retour sur une semaine de marches et de protestations, qui a vu la candidature de l'actuel président algérien à un 5e mandat remise profondément en cause par le peuple. L'élite algérienne, longtemps résignée, a rejoint le mouvement initié par les jeunes... et les supporters de football. 

Des manifestants algérois, le 24 février 2019, crient des slogans hostiles au président Bouteflika qui entend se succéder à lui-même. La police a riposté avec des bombes lacrymogènes et des canons à eau. (RYAD KRAMDI / AFP)
Des étudiants face aux forces de sécurité lors d'une manifestation à Alger,  le 26 février 2019, contre la candidature du président Abdelaziz Bouteflika pour un cinquième mandat. (RYAD KRAMDI / AFP)
L’homme d'affaires et activiste politique Rachid Nekkaz, devant la mairie d’Alger le 23 février 2019, rencontre un large succès auprès de la jeunesse avide de changement.  (RYAD KRAMDI / AFP)
Les forces de sécurité interviennent avec des gaz lacrymogènes contre des étudiants à Alger le 26 février 2019. Ils ont été empêchés de se rendre au siège de la Présidence.  (FAROUK BATICHE / ANADOLU AGENCY)
La présidente de l'Union pour le changement et le progrès, Zoubida Assoul, fervente opposante à la candidature d’Abdelaziz Bouteflika, le 24 février 2019 à Alger. (RYAD KRAMDI / AFP)
Manifestation pacifique en Kabylie, à Béjaia, le 27 février 2012. Les marches contre le 5e mandat ont lieu dans presque toutes les villes algériennes.  (SOFIANE BAKOURI / HANS LUCAS)
"La défense avec le citoyen", les avocats ont rejoint la protestation le 25 février 2019, ici devant le tribunal de Sidi M’hamed à Alger. Les avocats ont appellent au respect de la Constitution. (RYAD KRAMDI / AFP)
Les portraits du président Bouteflika, absent physiquement de la campagne électorale, sont pris pour cibles par les manifestants. A Alger, le 22 février, son gigantesque portrait a été détruit par la foule.  (RYAD KRAMDI / AFP)
Une dizaine de journalistes algériens participant à un rassemblement dans le centre d'Alger contre "la censure" ont été interpellés jeudi 28 février.  (RYAD KRAMDI / AFP)
La diaspora algérienne en nombre dimanche 24 février après-midi à Paris. "Pouvoir assassin", "Système dégage", "Seul le mandat du peuple", pouvait-on lire parmi les slogans inscrits sur les pancartes brandies par les manifestants, réunis place de la République, dans le centre de la capitale française.  (STEPHANE DE SAKUTIN / AFP)

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