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LA PHOTO. Nigeria: veillée à Lagos contre l'oubli des lycéennes de Chibok

Le collectif «Bring Back Our Girls» a été lancé en 2014 pour ne pas oublier les lycéennes de Chibok. Sur 276 enlevées par Boko Haram, 195 sont toujours aux mains des islamistes. Critiqué pour son inaction, le pouvoir dit «travailler à leur libération» alors que des civils sont kidnappés et subissent les pires violences de la part d'une secte extrémiste devenue un mouvement djihadiste.
Article rédigé par Dominique Cettour-Rose
France Télévisions
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
Dans la capitale économique du Nigeria, des militantes de «Bring Back Our Girls» (Ramenez-nous nos filles) participent à une veillée en hommage aux lycéennes enlevées le 14 avril 2014, alors qu'elles étaient en train de passer leurs examens. Trois ans après, la mobilisation autour de cet enlèvement de masse, relayée par des médias internationaux, des ONG, des personnalités, à coup de hashtags #bringbackourgirls sur les réseaux sociaux, semble s'essouffler. A Abuja, la capitale fédérale, où le collectif est particulièrement actif, des arbres devraient être plantés à la mémoire des jeunes disparues. (Sunday Alamba/AP/SIPA)

A Lagos, le 14 avril 2017 Dans la capitale économique du Nigeria, des militantes de «Bring Back Our Girls» (Ramenez-nous nos filles) participent à une veillée en hommage aux lycéennes enlevées le 14 avril 2014, alors qu'elles étaient en train de passer leurs examens. Trois ans après, la mobilisation autour de cet enlèvement de masse, relayée par des médias internationaux, des ONG, des personnalités, à coup de hashtags #bringbackourgirls sur les réseaux sociaux, semble s'essouffler. A Abuja, la capitale fédérale, où le collectif est particulièrement actif, des arbres devraient être plantés à la mémoire des jeunes disparues.

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