Cet article date de plus de sept ans.
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découvrir nos newsletters (Nouvelle fenêtre)«J’arrive en Libye pour la première fois en décembre 2014. Ras-Jedir, à la frontière tunisienne, puis la ville de Zuwara, connue pour les départs et naufrages des bateaux de migrants qui partent pour l’Italie. Ceux qui vivent le fifty-fifty: la mort ou la vie. A Zuwara, je rencontre Younes, 26 ans, ingénieur en télécommunications, devenu fixeur pour journalistes. Lors de notre première rencontre, Younes me pose une question à la fois bouleversante et pertinente: «Tu es là pour les migrants ou pour la guerre?» Bouleversante, car elle démontre les intentions des médias et l’intérêt qu’ils portent à l’égard de son pays. Pertinente, directe et sans détour, car elle pose le contexte: une dissociation est-elle possible entre la guerre et le sort des migrants?», explique le photographe.
Cette exposition est coproduite par la Galerie Les filles du calvaire.
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