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Auschwitz: la jeunesse d'Europe au premier rang des commémorations
Le 27 janvier 1945, les troupes soviétiques libéraient le camp nazi d’Auschwitz-Birkenau en Pologne. 70 ans après, l’Europe et le monde s’apprêtent à commémorer l’événement à travers de nombreuses manifestations notamment à destination des jeunes générations. Rencontre avec une lycéenne lorraine, invitée par le Bundestag allemand à participer à ce «devoir de mémoire».
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Temps de lecture : 1min
Reportage : L.Parisot / T.Ganay / L.Maas / France 3 Lorraine
«70 ans, ça n’est pas si loin que ça». Du haut de ses 17 ans, Lucille Bastien pose sur l’Holocauste un regard lucide. Au-delà de l’émotion et de la répulsion que les images de corps décharnés et les témoignages de survivants peuvent susciter en elle, la jeune fille a surtout conscience de la valeur «pédagogique» que cette page sombre de l’Histoire doit avoir auprès des jeunes.
C’est à ce titre que cette élève du lycée Margueritte de Verdun a été sélectionnée par le Centre mondial de la paix, des libertés et des droits de l’Homme pour participer aux commémorations du 70e anniversaire de la libération des camps de concentration et d’extermination organisées par le Bundestag (chambre des députés allemande).
Tables rondes et cérémonies
Du 22 au 27 janvier, ce dernier organise 5 jours de travaux à Berlin, Cracovie (Pologne) et sur le site même d’Auschwitz. Des travaux auxquels sont conviés des jeunes européens. Car le souvenir de l’Holocauste est bel et bien une question européenne. Les ennemis d’hier sont aujourd’hui partenaires. Une importance que le Parlement européen a bien compris : le jour anniversaire de la libération d’Auschwitz-Birkenau, le 27 janvier, l'Institution organise une journée spéciale avec projection de documentaires et retransmission de la cérémonie de commémoration en direct d’Auschwitz.
«70 ans, ça n’est pas si loin que ça». Du haut de ses 17 ans, Lucille Bastien pose sur l’Holocauste un regard lucide. Au-delà de l’émotion et de la répulsion que les images de corps décharnés et les témoignages de survivants peuvent susciter en elle, la jeune fille a surtout conscience de la valeur «pédagogique» que cette page sombre de l’Histoire doit avoir auprès des jeunes.
C’est à ce titre que cette élève du lycée Margueritte de Verdun a été sélectionnée par le Centre mondial de la paix, des libertés et des droits de l’Homme pour participer aux commémorations du 70e anniversaire de la libération des camps de concentration et d’extermination organisées par le Bundestag (chambre des députés allemande).
Tables rondes et cérémonies
Du 22 au 27 janvier, ce dernier organise 5 jours de travaux à Berlin, Cracovie (Pologne) et sur le site même d’Auschwitz. Des travaux auxquels sont conviés des jeunes européens. Car le souvenir de l’Holocauste est bel et bien une question européenne. Les ennemis d’hier sont aujourd’hui partenaires. Une importance que le Parlement européen a bien compris : le jour anniversaire de la libération d’Auschwitz-Birkenau, le 27 janvier, l'Institution organise une journée spéciale avec projection de documentaires et retransmission de la cérémonie de commémoration en direct d’Auschwitz.
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