Un projet d'accord a été rédigé entre Londres et Bruxelles mardi 13 novembre. Theresa May a reçu ses ministres dès mardi soir. Mais le Parlement britannique doit le valider.
La Grande-Bretagne et l'Union européenne, qui négocient en continu depuis l'été 2017, évoquent pour la première fois, mardi 13 novembre, une position commune pour éviter une frontière physique entre les deux Irlandes. Le Royaume-Uni resterait provisoirement dans l'union douanière en attendant de trouver une solution définitive. Avantages pour Londres : l'intégrité territoriale avec Belfast et l'Irlande du Nord serait préservée. Inconvénients : le Royaume-Uni ne pourra conclure seul un accord commercial avec d'autres pays hors de l'UE.
L'heure de vérité pour May
Pour la Première ministre Theresa May, qui est chahutée tant par les partisans du Brexit que par les opposants, c'est l'heure de vérité. Il faudra convaincre les députés britanniques, conclut en direct de Bruxelles (Belgique) Pascal Verdeau, le correspondant de France 3 à la Commission européenne.
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