Nigéria : le prêt-à-porter nigérian connecté
A Lagos, notamment pour éviter les embouteillages gigantesques, les 20-30 ans de la classe moyenne font leurs achats via leur téléphone.
D'où l'emergence de nouveaux métiers, comme celui d'influenceuse...
c'est la profession de Laura IKEJI, omniprésente sur Instagram.
Elle est suivi par un million de personnes et gagne des dizaines de milliers d'euros en travaillant pour différentes marques.
Tania OMOTAYO fait partie des nouveaux acteurs du prêt-à-porter nigérian.
Cette créatrice vend à bas prix des vêtements de luxe.
Mannequin de sa marque sur les réseaux sociaux, elle est suivi par plus de 20 000 abonnés .
Et les commandes se succèdent à un rythme effréné.
"Quand j'ai démarré, je n'avais pas de boutique pendant les six premiers mois, je vendais uniquement sur Instagram."
A Lagos, notamment pour éviter les embouteillages gigantesques, les 20-30 ans de la classe moyenne font leurs achats via leur téléphone.
D'où l'emergence de nouveaux métiers, comme celui d'influenceuse...
c'est la profession de Laura IKEJI, omniprésente sur Instagram.
Elle est suivi par un million de personnes et gagne des dizaines de milliers d'euros en travaillant pour différentes marques.
Laura se met en scène sur sa page
en portant des vêtements, des chaussures ou des accessoires.
"C'est un bonheur pour moi de pouvoir transmettre mon vécu à tous ces jeunes, qui peuvent réussir grâce à cette plateforme sans le stress du travail."
Avec tous ces nouveaux entrepreneurs, Lagos constitue désormais un vrai laboratoire pour
pour tous les géants mondiaux de l'Internet.
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