Mort de Hassan Nasrallah : la crainte d'un embrasement régional

Publié
Temps de lecture : 1min - vidéo : 2min
Mort de Hassan Nasrallah : la crainte d'un embrasement régional
Article rédigé par franceinfo - A. Schiller
France Télévisions
franceinfo
Israël a annoncé samedi 28 septembre la mort du chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, éliminé dans une frappe massive la veille sur la banlieue sud de Beyrouth. Le risque de l'embrasement régional est bien réel.

Samedi 28 septembre en fin d'après-midi, une nouvelle frappe a touché le siège du Hezbollah alors que le soleil se couche dans la banlieue sud de Beyrouth (Liban). Quelques minutes plus tôt, à Tel Aviv (Israël), des sirènes retentissent à l'aéroport. Un missile vient d'être tiré du Yémen, intercepté par la défense antimissile israélienne.

Un coup de tonnerre pour les alliés du Hezbollah

Ces attaques interviennent alors que la mort d'Hassan Nasrallah vient d'être confirmée, après un puissant bombardement la veille dans le sud de Beyrouth, où se trouve le centre de commandement de la milice chiite. Benyamin Netanyahou reste ferme : "Nous avons atteint un tournant historique dans la lutte contre nos ennemis", a-t-il affirmé. La mort d'Hassan Nasrallah a provoqué un coup de tonnerre au Liban et en Iran, où cinq jours de deuil national ont été décrétés par l'ayatollah Ali Khamenei. À Beyrouth, des milliers d'habitants ont fui la banlieue sud pour aller vers le centre-ville.

Regardez l'intégralité du reportage dans la vidéo ci-dessus. 

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.