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Concours mondial de l'enseignement : une Française parmi les 50 finalistes

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Concours mondial de l'enseignement : une Française parmi les 50 finalistes
Concours mondial de l'enseignement : une Française parmi les 50 finalistes Concours mondial de l'enseignement : une Française parmi les 50 finalistes (FRANCE 2)
Article rédigé par France 2
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France 2 est allée à la rencontre d'Anne Fischer, une professeure candidate au concours mondial de l'enseignement, qui se tiendra le mois prochain à Dubaï, aux Émirats arabes unis. Elle fait partie des 50 finalistes et représentera la France. Alors, pourquoi ses élèves l'aiment-ils tant ?

Dans quatre semaines, elle pourrait devenir la meilleure professeure du monde. Anne Fischer fait partie des 50 finalistes de la 5e édition de ce prix international. Cette enseignante n'est pas une professeure comme les autres. Ses élèves sont allophones, c'est-à-dire que leur langue maternelle n'est pas le français. Professeure depuis 1994, Anne Fischer s'est orientée vers les classes allophones il y a trois ans. Une reconversion qui l'a obligée à revoir ses méthodes d'enseignement. Des ateliers en petits groupes et un travail constant sur l'interaction.

900 000 € à gagner

Une pédagogie payante, puisque l'enseignante fait l'unanimité chez ses élèves. Anne Fischer donne une heure de cours chaque matin. Le reste du temps, les élèves sont en classe normale. Un soutien scolaire aux effets très bénéfiques, selon ses collègues. Une célébrité un peu contre son gré, car c'est son directeur qui l'a inscrite à ce concours sans même la consulter. En cas de victoire le 24 mars prochain, Anne Fischer pourrait empocher un chèque de 900 000 €. Une somme qu'elle réinvestirait en partie dans l'éducation.

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