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Napoléon 2015 : Revivez l'édition spéciale en direct de Waterloo

France Info était à Waterloo toute la journée pour les 200 ans de la bataille. Rencontre avec Napoléon, les lieutenants, les ambulanciers, les chirurgiens, et avec les "reconstitueurs".

franceinfo

Radio France

Publié le 18/06/2015 17:14 Mis à jour le 18/06/2015 18:27

Temps de lecture : 1min

(Thomas Snegaroff, Ersin Leibowitch et Napoléon sur le champ de bataille © Radio France / Matthieu Mondoloni)

Il y a 200 ans, jour pour jour, Napoléon perdait la bataille de Waterloo. A cette occasion, une grande reconstitution de la bataille a lieu sur le champ de bataille et mobilisera plus de 5.000 figurants.

(Napoléon, le maréchal Ney et le lieutenant Poels © Radio France / Matthieu Mondoloni)

Napoléon, alias Franck Samson, explique les raisons de cette bataille. Dans cette bataille il est accompagné du lieutenant Poels, qui le suit depuis 1804.

Napoléon et le lieutenant Poels livrent leurs sentiments sur la bataille de Waterloo

(le capitaine Cooper, un Anglais qui "se bat" côté français © Radio France / Matthieu Mondoloni)

Lors des reconstitutions, on n'est pas à l'abri de bizarreries et Waterloo n'échappe pas à la règle. Dans les rangs français on trouve des soldats qui devraient être dans le camp ennemi mais qui ont choisi la France.

Rob Cooper et John Powel ont décidé de vivre cette bataille du côté français

Waterloo a été une vraie boucherie. C'est l'une des pires batailles de l'ère napoléonienne. Pour accueillir les blessés quelques ambulanciers et des chirurgiens.

Jean-Denis, ambulancier, et Olivier, le chirurgien racontent la difficulté de leurs métiers sur le champ de bataille

"La France a une méconnaissance globale de la période napoléonienne ", explique Thomas Snegaroff. Il faut savoir également que l'histoire a été réécrite et que beaucoup parmi les acteurs de cette reconstitution n'ont pas digéré cette bataille.

Que reste-t-il de Waterloo ? La réponse de Thomas Snegaroff