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Libération des otages du Hamas : la trêve "devrait être suivie d'un retour de la guerre", estime un professeur des Universités en droit public

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L'otage franco-israélienne du Hamas Mia Schem a été libérée jeudi 30 novembre. Invité du 19/20 info, Beligh Nabli, professeur des Universités en droit public, revient sur cette annonce, et rappelle que la trêve ne veut pas dire la fin de la guerre.
Libération des otages du Hamas : la trêve "devrait être suivie d'un retour de la guerre", estime un professeur des Universités en droit public L'otage franco-israélienne du Hamas Mia Schem a été libérée jeudi 30 novembre. Invité du 19/20 info, Beligh Nabli, professeur des Universités en droit public, revient sur cette annonce, et rappelle que la trêve ne veut pas dire la fin de la guerre. (franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - B. Klein, A. Mikoczy
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L'otage franco-israélienne du Hamas Mia Schem a été libérée jeudi 30 novembre. Invité du 19/20 info, Beligh Nabli, professeur des Universités en droit public, revient sur cette annonce, et rappelle que la trêve ne veut pas dire la fin de la guerre.

Mia Schem a été libérée jeudi 30 novembre. Revenant sur les images de la libération de l'otage franco-israélienne dans le 19/20 info, Beligh Nabli, professeur des Universités en droit public, estime que "c'est un enjeu côté israélien de pouvoir délivrer de telles images et de faire la démonstration de la capacité du gouvernement israélien à obtenir des résultats dans les négociations ardues avec le Hamas".

La destruction du Hamas, "ambition affichée" d'Israël

"Mais en même temps, le discours qui est tenu [par Israël] n'est pas un discours qui se résumerait dans la quête d'un cessez-le-feu", nuance le professeur des Universités, ajoutant que "cette séquence de la trêve devrait être suivie d'un retour de la guerre". "Il y a eu une ambition affichée dès le départ, et sur laquelle le gouvernement israélien n'est jamais revenu, à savoir la destruction du Hamas", rappelle Beligh Nabli. "La question des otages s'est imposée comme une donnée de cette guerre, mais ce n'est pas l'unique donnée à prendre en considération", poursuit-il.

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