Mort d'Alexeï Navalny : La thèse d'un décès par empoisonnement refait surface

Publié Mis à jour
Durée de la vidéo : 2 min
Alexeï Navalny, l'opposant russe à Vladimir Poutine, est décédé en prison le 16 février dernier. Une enquête du média d'investigation The Insider, révélée le 1er octobre, affirme qu'il a été empoisonné.
Mort d'Alexeï Navalny : une nouvelle thèse d'un décès par empoisonnement refait surface Alexeï Navalny, l'opposant russe à Vladimir Poutine, est décédé en prison le 16 février dernier. Une enquête du média d'investigation The Insider, révélée le 1er octobre, affirme qu'il a été empoisonné. (France 2)
Article rédigé par France 2 - C. Vérove, P-Y. Salique, V. Ghiri, C. Beauvalet
France Télévisions
France 2
Alexeï Navalny, l'opposant russe à Vladimir Poutine, est décédé en prison le 16 février dernier. Une enquête du média d'investigation The Insider, révélée le 1er octobre, affirme qu'il a été empoisonné.

Alexeï Navalny est mort le 16 février 2024 en prison d'une mort naturelle, selon la version officielle des autorités. Cependant, cette version a été démentie le 1er octobre par le média d'investigation russe The Insider. Preuves à l'appui, il affirme que l'ancien opposant russe à Vladimir Poutine a été assassiné en prison. Pour rappel : les jours qui ont suivi la mort d'Alexeï Navalny, sa famille n'avait pas pu voir une dernière fois sa dépouille.

Des preuves à l'appui

Le média The Insider s'est procuré la version originale du rapport d'autopsie où plus de détails sur les circonstances de sa mort sont mentionnés. Il aurait eu des symptômes similaires à ceux qu'il a subis lors d'une tentative d'empoisonnement en 2020. Le média russe a également obtenu la liste des pièces saisies dans la prison après la mort de l'ex-opposant, parmi lesquelles des échantillons de vomissure. Les avocats de l'ancien opposant envisagent de demander l'ouverture d'une enquête internationale.

Regardez l'intégralité du reportage dans la vidéo ci-dessus.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.