Emmanuel Macron : "le 1er mai n'est pas la journée des casseurs"
La manifestation du 1er-Mai à Paris a été marquée par l'irruption de 1 200 black blocs qui ont causé des débordements violents. Emmanuel Macron condamne ces agissements, comme le rapporte Guillaume Daret, l'envoyé spécial de France 2 en Australie.
La manifestation parisienne du 1er-Mai a mal tourné. Elle a en effet été marquée par l'irruption de 1 200 black blocs qui ont causé des débordements violents. Depuis Sidney (Australie), le chef de l'État a été tenu informé en permanence de ce qui se passait en France, comme le rapporte Guillaume Daret, l'envoyé spécial de France 2 en Australie. " Dès la fin du dîner officiel à l'Opéra de Sidney, à son hôtel, il a visionné les images de ces affrontements (...) Des images d'ailleurs diffusées par quelques chaînes de télévision australienne. Il a eu ensuite le secrétaire général de l'Élysée et en plein milieu de la nuit, c'est le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb qui lui a téléphoné, pour lui faire un état des lieux complet de la situation", rapporte le journaliste.
Un message de fermeté
Emmanuel Macron a voulu faire passer un message de fermeté, mardi matin depuis Sidney : "La journée du travail, c'est la journée des travailleurs, ce n'est pas la journée des casseurs (...) Je ne peux ici que condamner, à nouveau, avec la plus grande fermeté ce qui s'est passé", a déclaré le Président de la République.
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