Conférence de presse de Gabriel Attal et Olaf Scholz à Berlin : "c’est une visite spéciale", selon un historien spécialiste de l’Allemagne

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Le Premier ministre Gabriel Attal est en visite à Berlin (Allemagne), lundi 5 janvier. Il a rencontré le chancelier Olaf Scholz. Tout deux ont tenu une conférence de presse. Joseph de Weck, historien et directeur Europe de Greenmantle, cabinet de conseil en risques macro-économiques et géopolitiques, et spécialiste de l’Allemagne, était l’invité du 19/20 info.
Conférence de presse de Gabriel Attal et Olaf Scholz à Berlin : "c’est une visite spéciale", selon un historien spécialiste de l’Allemagne Le Premier ministre Gabriel Attal est en visite à Berlin (Allemagne), lundi 5 janvier. Il a rencontré le chancelier Olaf Scholz. Tout deux ont tenu une conférence de presse. Joseph de Weck, historien et directeur Europe de Greenmantle, cabinet de conseil en risques macro-économiques et géopolitiques, et spécialiste de l’Allemagne, était l’invité du 19/20 info. (franceinfo)
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Le Premier ministre Gabriel Attal est en visite à Berlin (Allemagne), lundi 5 janvier. Il a rencontré le chancelier Olaf Scholz. Tout deux ont tenu une conférence de presse. Joseph de Weck, historien et directeur Europe de Greenmantle, cabinet de conseil en risques macro-économiques et géopolitiques, et spécialiste de l’Allemagne, était l’invité du 19/20 info.

Les présidents ou Premiers ministres français réservent souvent à l’Allemagne leur première visite à l’étranger. "C’est une tradition, pour un Premier ministre, c’est une visite spéciale, en politique étrangère ce n’est pas vraiment lui qui a les compétences en France, mais sur les sujets de politiques économique et européenne, l’Allemagne reste son partenaire principal", analyse Joseph de Weck, historien et directeur Europe de Greenmantle. Selon l’invité, l’objectif est de démontrer que Gabriel Attal est pris au sérieux.

Une situation "comparable à 2002"

Concernant la montée de l’extrême droite en Allemagne, Joseph de Weck estime que c’est comparable en France à "2002, quand Jean-Marie Le Pen est passé au second tour de l’élection présidentielle (...) toute la France se rendait compte que ce pays avait un vrai problème avec l’extrême droite. Maintenant, en Allemagne, on en est à ce moment-là". 

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