Budget : Michel Barnier "n'a pas proposé d'ajustements", regrette Charles Alloncle, député UDR de l'Hérault

Publié le 22/11/2024 12:37

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Charles Alloncle, député UDR de l'Hérault Les menaces de censure du gouvernement Barnier sont brandies par la gauche et l'extrême droite. Une nouvelle dissolution de l'Assemblée nationale n'étant pas envisageable avant juin, un autre Premier ministre se retrouverait, comme lui, sans majorité pour gouverner. (franceinfo)

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Le 11h/13h

Édition du vendredi 22 novembre 2024

Les menaces de censure du gouvernement Barnier sont brandies par la gauche et l'extrême droite. Une nouvelle dissolution de l'Assemblée nationale n'étant pas envisageable avant juin, un autre Premier ministre se retrouverait, comme lui, sans majorité pour gouverner.

Face aux menaces de censure brandies par la gauche et l'extrême droite, le gouvernement de Michel Barnier est sous pression. "Le projet de budget que Michel Barnier a proposé devant l'Assemblée nationale est un budget socialiste avec un choc fiscal inédit depuis François Hollande. Élisabeth Borne, quand elle était Première ministre, aurait pu le proposer. Depuis que l'on tire la sonnette d'alarme, à aucun moment il n'a proposé des ajustements. (Une possible censure) n'est pas une découverte pour le camp Barnier", explique Charles Alloncle, député UDR de l'Hérault.

"Ce budget ne va pas assez loin"

"C'est un budget très austéritaire. La taxation des multinationales et des hauts patrimoines était le strict minimum que pouvait proposer Michel Barnier. Des personnes se sont enrichies alors que la majorité des Français s'est appauvrie. Les salaires stagnent et les services publics sont en difficulté. Ce budget n'allait pas assez loin", répond Alma Dufour, députée LFI de la Seine-Maritime.

Regardez l'intégralité du duel dans la vidéo ci-dessus.