Cet article date de plus de deux ans.

Politique : Adrien Quatennens, de La France Insoumise, au cœur d’une polémique sur fond de violences conjugales

Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
Politique : Adrien Quatennens, de La France Insoumise, au cœur d’une polémique sur fond de violences conjugales
Politique : Adrien Quatennens, de La France Insoumise, au cœur d’une polémique sur fond de violences conjugales Politique : Adrien Quatennens, de La France Insoumise, au cœur d’une polémique sur fond de violences conjugales (France 3)
Article rédigé par France 3 - C. Motte, G. Liaboeuf
France Télévisions
France 3

Adrien Quatennens a publié un long communiqué, dimanche 18 septembre, dans lequel il reconnaît avoir giflé son épouse. Le député du Nord a annoncé se retirer de ses fonctions à la France insoumise, mais la polémique est lancée au sein de la NUPES.

Adrien Quatennens est visé pour des faits de violences conjugales, lundi 19 septembre. Considéré comme le dauphin de Jean-Luc Mélenchon, il a fait le choix de la transparence. Dans un communiqué, il raconte les hauts et les bas de son couple, en instance de divorce, et il reconnaît avoir donné une gifle à sa femme il y a un an. Immédiatement, Jean-Luc Mélenchon a réagi sur Twitter avec ce message : "Adrien décide de tout prendre pour lui, je salue sa dignité et son courage. Je lui dis ma confiance et mon affection". 

Mélenchon rectifie le tir, mais le mal est fait

Des mots qui ont fait bondir plusieurs personnalités de tous bords politiques. Aurore Berger, chef de la majorité à l’Assemblée, a dénoncé une indignation. L’écologiste Sandrine Rousseau, elle, a réclamé son retrait. Face à cette avalanche de réactions, Jean-Luc Mélenchon s’est empressé de rectifier le tir. "Mon affection pour lui ne veut pas dire que je suis indifférent à Céline. (...) Une gifle est inacceptable. Dans tous les cas, Adrien l’assume, c’est bien", a-t-il déclaré. Mais au sein de La France Insoumise qui se dit très préoccupé par les violences faites aux femmes, le mal est déjà fait. 

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.