Envoyé spécial du jeudi 10 septembre 2015
Au sommaire, une édition spéciale et en direct sur la crise des réfugiés. "Envoyé spécial" a enquêté sur cette France divisée sur l'accueil des migrants, et a rencontré des réfugiés syriens déracinés, des migrants du siècle précédent, espagnols et italiens. Enfin, une équipe a suivi des familles sur les routes clandestines de l'exil, des plages grecques à la Scandinavie.
24 000. C'est le nombre de réfugiés que la France accueillerait dans les deux années à venir, comme l'a annoncé François Hollande lors de sa conférence de presse du 7 septembre. Une majorité de Français semble opposée à leur accueil sur le territoire. Pourquoi nos compatriotes sont-ils à ce point divisés sur le sujet ? L'Allemagne, quant à elle, attend jusqu'à 800 000 demandeurs d'asile en 2015. Pourtant, la France a su intégrer de nombreuses vagues de migrants par le passé, qu'ils soient venus d'Espagne, d'Italie ou d'Europe de l'Est...
Déjà 2 400 morts sur les routes de l'exil en 2015
Aujourd'hui, c'est près d'un million de personnes qui devraient prendre la mer depuis les côtes africaines pour trouver refuge en Europe d'ici à la fin 2016, selon le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés. Derrière ces chiffres se jouent des drames humanitaires sur les routes des Balkans et en Méditerranée, où plus de 2 400 personnes ont déjà trouvé la mort cette année. À quoi ressemblent ces routes de l'exil ?
Reportages, enquêtes et décryptages, Françoise Joly en direct de Paris et Guilaine Chenu en duplex de Munich présentent une édition exceptionnelle d'Envoyé spécial sur l'actualité des réfugiés.
La rédaction d'Envoyé spécial vous invite à commenter l'émission sur sa page Facebook ou sur Twitter avec le hashtag #EnvoyeSpecial.
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