Cet article date de plus de sept ans.

Ça nous marque. Transavia France : "Nous nous voulons très proches de nos clients"

Nathalie Stubler, présidente directrice générale (PDG) de Transavia France est l'invitée d'Olivier de Lagarde. 

Article rédigé par franceinfo, Olivier de Lagarde
Radio France
Publié
Temps de lecture : 2min
Nathalie Stubler est la présidente directrice générale de Transavia France. (ERIC PIERMONT / AFP)

En 1965, Transavia est née aux Pays-Bas

À l’époque, elle a été l’une des compagnies pionnières à se lancer dans les vols charters. En 1986, elle est même devenue la première compagnie aérienne à bénéficier de la dérégulation du trafic aérien signée entre les gouvernements du Royaume-Uni et des Pays-Bas. Transavia a alors commencé ses premières dessertes régulières entre Amsterdam et Londres.

À la même époque, Transavia France a été créée (novembre 1986) puis a commencé ses opérations en mai 1987. En 2003, KLM est devenue propriétaire unique de la compagnie. La fusion postérieure d’Air France et de KLM a fait de Transavia une filiale indépendante de la nouvelle entité.

Une croissance spectaculaire 

À l’époque, "il s’agissait pour Air France de développer une offre alternative dans le low cost", raconte Nathalie Stubler. En 30 ans, la croissance de Transavia est spectaculaire : la compagnie compte aujourd’hui 29 appareils de type Boeing, et a transporté en 2016, 5,3 millions de passagers vers l’une de ses 82 destinations.

Pour Nathalie Stubler, le modèle économique de Transavia tient à sa diversité. 
"Le prix du billet est très important mais nous considérons qu'il ne doit pas être le seul élément qui va nous différencier
, détaille la PDG. Transavia a l’avantage de proposer des vols au départ d’Orly mais la compagnie propose aux clients des expériences différentes." 

Autre point fort de la compagnie : les relations humaines

 "Nous nous voulons très proches de nos clients, grâce au digital mais aussi à bord, avec des hôtesses et stewards qui sont formidables" conclut Nathalie Stubler. 

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.