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Dans une autre vie, Marion Bartoli aurait voulu être designeuse de mode

Si elle n'avait pas été championne de tennis, Marion Bartoli aurait voulu être désigneuse de mode. Elle le raconte à Jacques Vendroux.

Article rédigé par franceinfo, Jacques Vendroux
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
Marien Bartoli brandit le plateau d'argent (Rosewater Dish), trophée du tournoi de Wimbledon, le 6 juillet 2013. (MIHO TAKAHASHI / YOMIURI)

La joueuse de tennis Marion Bartoli passe professionelle en 2000. Elle intègre le Top 100 mondial en 2003. Elle est 17e mondiale en 2006... Quelle réussite ! Numéro 1 française à 22 ans, elle dispute sa première finale à Wimbledon, perdue contre Venus Williams en 2007. Septième mondiale en 2012 et 2013, Marion Bartoli est entrée dans l'histoire du tennis français en remportant Winbledon en 2013. Elle est, avec Mary Pierce et Amélie Mauresmo, la troisième française à remporter un tournoi du Grand Chelem.

Ses inspirations : Lagerfeld, Chanel, Saint-Laurent...

"J'aurais voulu être designeuse de mode. J'ai toujours été très inspirée par Karl Lagerfeld, par Yves Saint-Laurent, par tous les grands couturiers qu'on a eu la chance de connaître en France. Madame Coco Chanel aussi, confie Marion Bartoli. Toutes ces personnes qui ont fait que le style français est reconnu dans le monde entier."

La championne explique que ce désir est né dans son enfance. "Depuis toute petite, j'ai vraiment aimé coudre, j'ai toujours aimé peindre, dit-elle. J'ai toujours aimé faire beaucoup de choses avec mes mains et j'ai toujours aimé avoir une raquette de tennis et jouer au tennis. C'était toujours mes deux passions et je pense qu'aujourd'hui, j'utilise ma deuxième passion justement parce que j'ai commencé dans la mode. Je dessine pour une marque de sports. Ce n'est évidement pas au niveau des grands couturiers mais au moins j'explore cette partie là que j'affectionne particulièrement."

Marion Bartoli conclut : "J'adorais faire mes robes moi-même. Je prenais des bouts de tissu, je les coupais. J'avais une machine à coudre. Je me cousais mes petites jupes de tennis aussi. J'ai toujours adoré ça."

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