Et si on parlait handicap
Le vice-champion du monde de para-natation Théo Curin s'intéresse cette semaine au handicap et à l'accessibilité.
Théo Curin, vice champion du monde de Para natation, nous entraine chaque semaine dans les coulisses des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024. Au lendemain de la Journée paralympique place de la Bastille à Paris, il s'est rendu à la Maison du projet, en seine Saint Denis.
L'occasion d'y parler handicap, accessibilité et innovation en compagnie de deux interlocuteurs. D'abord Pierre-Antoine Leyrat, de la société de livraison des ouvrages olympiques : "Mon rôle est de faire en sorte que les 64 ouvrages construits pour les Jeux soient les plus accessibles, utilisables et confortables pour tout le monde, y compris les personnes en situation de handicap."
Former les bénévoles
Par exemple la signalétique, au cœur des préoccupations des organisateurs des JO, est étudiée pour les mal-voyants mais aussi ceux qui ont des problèmes de lecture ou qui ne parlent pas la langue. Elle se veut donc inclusive, sonore et miltisensorielle.
Ensuite Ludivine Munos, responsable de l'intégration paralymique et de l'accessibilité au sein du comité d'organisation des Jeux de Paris 2024 : "Les gens qui ont besoin de se mettre au calme disposeront d'un espace zen, la “sensory room”, et tout sera fait pour accueillir ceux avec un besoin sépcifique ; on peut prêter un fauteuil ou proposer de l'audiodescription, et on forme pour cela tous les volontaires de Paris 2024."
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