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Plusieurs tests prévus, à un an des Jeux

Le compte à rebours continue. On approche de l'été, un an tout juste avant les JO de Paris 2024. L'occasion de réaliser plusieurs compétitions, comme des tests grandeur nature. Entretien avec le directeur exécutif des opérations des JO, Edouard Donnelly.
Article rédigé par Théo Curin, Fabrice Rigobert
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 2min
Avant d'être le directeur exécutif des opérations des Jeux de Paris 2024, Edouard Donnelly avait été en 2017 le président du Comité d'organisation du Mondial de handball organisé en France. (JEROME FOUQUET / MAXPPP)

Chaque semaine Théo Curin, vice-champion du monde de para-natation nous fait entrer dans les coulisses des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024. Nous serons cet été, à un an de l'événement. Plusieurs compétitions vont avoir lieu, mais attention, il ne faut pas s'attendre à une répétition générale.

Théo est en compagnie d'Edouard Donelly, directeur des opérations pour Paris 2024, qui fait le point sur les événements à suivre : "On a trois grands tests prévus cet été. Marseille ouvrira le bal avec des épreuves de voile du 9 au 16 juillet. Il y aura ensuite à Paris, dans la Seine, une compétition de triathlon sur le même parcours que pour les Jeux, un an plus tard. Enfin, Elancourt accueillera des courses de VTT, en septembre."

Des vérifications opérationnelles et techniques

Pour ces trois rendez-vous, il s'agira de compétitions officielles, où des athlètes viendront se mesurer. Ils seront par exemple plus de 350 à Marseille. Chacun pourra découvrir les sites, les parcours et l'environnement. Par ailleurs, d'autres séries de tests seront menées, entre cet été et les Jeux de 2024, sans compétition officielle, notamment pour vérifier la faisabilité de passer d'un sport à un autre, sur un même site.

"Nous avons fait une analyse très fine, site par site, et sport par sport, des différents éléments que l'on a besoin de tester, poursuit Edouard Donelly. Il peut s'agir d'opérations purement sportives. Il peut aussi y avoir des répétitions techniques, comme au Grand Palais où nous allons devoir trouver le moyen d'occulter la lumière de la grande verrière, pour permettre aux escrimeurs d'être dans des conditions idéales, ou bien à Elancourt, pour essayer les systèmes de billetterie et de sécurité."

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