Et si Napster n'avait pas été condamné ?

RELANCE : Libération a 40 ans. Tout l'été, en partenariat avec France Info, le journal revient sur ces quarante dernières années... Aujourd'hui cap sur 1999...ISABELLE : 99, l'année d'un tube toulousain bien de gauche, "avé l'accent"...BOBComme d'habitude, on vous laisse retrouver tous seuls et le titre et les noms des interprètes... Si vraiment vous séchez la réponse est dans le cahier d'été de Libération... je peux juste vous dire que ce sont des chanteurs très... motivés.RELANCE : La fiction inventée aujourd'hui par le Journal nous plonge dans le milieu de la musique en ligne. ISABELLE : Libération imagine que le site de partage Napster n'a pas été condamné par la justice américaineBonjour Eric Loret, vous êtes co-responsable des cahiers d'été de Libération...Napster c'était le tout début des échanges gratuits de musique en peer-to-peer... Dans la vraie vie le site a été interdit pour protéger les droit d'auteurs... Dans votre scénario au contraire il a été autorisé à se développer, racontez-nous...votre fiction du jour montre que le système d'échange gratuit n'est pas viable et petit des lois finissent par le rendre payant...La marque Napster a été rachetée et revendue , relancée en France en 2011...vous donnez la aprole au vice-président pour l'europe de rhapsody, son nouveau propriétaireon s'est rendu compte que ça ne servait à rien de vouloir interdire le peer to peer, qu'il fallait plutôt le penser différemmentaujourd'hui on ne télécharge plus, on écoute en streaming, en live///1999, l'année d'un tube toulousain bien motivé et bien de gauche, "avé l'accent" : Tomber la chemise , du groupe Zebda.

1999, l'année de lancement du site de partage de musique en ligne Napster . Libération imagine que Napster n'a pas été interdit par la justice américaine, uniquement parce que la juge y a retrouvé la chanson de sa vie, "With a little help from my friends", de Joe Cocker !

Dans la vraie vie, le site a du fermer pour protéger les droit d'auteurs, mais la marque a été rachetée et relancée en France en 2011 sous la forme d'un site payant.

Libération donne la parole à Thorsten Schliesche, le vice-président pour l'europe de Rhapsody , service américain de musique en streaming sur abonnement et nouveau propriétaire de Napster.

Avec Eric Loret, co-responsable des cahiers d'été de Libération.