Jeux vidéo. "FIFA 17" : Nouvelle donne
Chaque année ou presque, ce sont les mêmes questions qui traversent l’industrie du jeu vidéo, et les simulations de football n’échappent pas à ces interrogations à répétitions. Exemple : faut-il passer de FIFA à PES ou inversement ?
En mal de ventes, en mal d’amour, PES 2017 aura bien du mal cette année encore et malgré ses qualités à rattraper son retard commercial vis à vis de FIFA 17. Car ce dernier en profite pour faire peau neuve avec un nouveau moteur graphique qui enrichit l’ambiance, les mouvements et les visages des joueurs, et jusqu’à l’éclairage des stades.
C’était déjà l’un des points forts de la saga FIFA mais ici, c’est une petite révolution pour les yeux.
Côté jeu, un réalisme accru, un contrôle plus précis des coups francs, corners et autres penaltys et surtout, avantage à l’attaque. La défense, elle, encaisse, sans moufter.
Côté commentaires, Franck Sauzée laisse sa place au ton blasé de Pierre Ménès. A noter, l’arrivée pour la première fois d’un mode carrière qui vous plonge dans l’histoire d’un jeune joueur bourré de talent. Une réussite. Et pour la deuxième année consécutive, les équipes nationales de foot féminin ont encore leur place
Appréciation : 17/20
Côté PES 2017, rien à redire, du beau jeu, équilibre parfait entre réalisme et fun, et des gardiens qui jouent à autre chose qu’à la passoire sur gazon. Mais le programme du mastodonte FIFA se révèle bien plus riche que le triste menu de ce PES pourtant si séduisant.
Appréciation : 15/20
Toujours au rayon sport, impossible de ne pas citer NBA2K 17, LA simulation de basket visuellement bluffante impressionnante, et cette année une jouabilité plus accessible avec si un soin particulier porté à la stratégie sur le parquet. NBA2K 17, un régal pour la rétine et le jeu. Un must.
Appréciation : 18/20
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