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Le journal des Outre-mers. Le palais de Donald Trump à Saint-Martin

Donald Trump, 45e président des Etats-Unis, est propriétaire d’une résidence de luxe aux Antilles françaises…

Article rédigé par franceinfo, Jean-Marie Chazeau
Radio France
Publié
Temps de lecture : 2min
 

Un palais de 50 chambres sur la baie aux Prunes

Cette résidence de luxe se situe dans la partie française de l’île franco-hollandaise de Saint-Martin. Bienvenue au château des Palmiers, propriété de Donald Trump. On peut y résider à condition de débourser 5 000 euros la nuit en basse saison, 19 000 en pleine saison touristique, selon la brochure signée par le nouveau président américain lui-même.

Dès le 9 novembre, la présidente de la collectivité de Saint-Martin, Aline Hanson, n’avait pas manqué de saluer son élection, estimant que "s’il y possède des biens, c’est que Donald Trump doit apprécier les nombreux atouts" de ce territoire français…

Des méduses à la Martinique

On reste aux Antilles, et en bord de mer : en Martinique plusieurs plages de la commune de Schoelcher, sont envahies de méduses depuis quelques jours… Mais pas de quoi inquiéter ceux qui profitent du soleil. Reportage Martinique 1ère Fabrice de Frémont.

 L'adieu à Paul Vergès à La Réunion

Un dernier adieu au son de l’Internationale : 2 500 personnes ont accompagné la dépouille de Paul Vergès sur l’île de la Réunion mardi. Doyen du Sénat, maire du Port pendant 18 ans, c’est dans sa ville que le fondateur du Parti Communiste Réunionnais a été enterré. Décédé le week-end dernier à l’âge de 91 ans, frère de l’avocat Jacques Vergès, cette figure politique très engagée, avait rencontré Mao, Ho Chi Min et Castro. Ses obsèques ont été diffusées en direct à la télévision. Prescilla Ethève y assistait également pour Réunion 1ère

La primaire de la droite et du centre a commencé en outre-mer

Et puis le premier tour de la Primaire de la droite et du centre a déjà eu lieu hier aux Antilles, en Guyane, à St Pierre et Miquelon et en Polynésie française. Comme pour les scrutins nationaux, les électeurs de ces collectivités d’outre-mer se déplacent le samedi, en raison d’un décalage horaire défavorable, pour éviter que l’annonce du résultat à Paris n’intervienne avant la fermeture de leurs bureaux de vote. L’inconnue restera le niveau de participation. 

En Nouvelle-Calédonie, comme en Polynésie et à Wallis et Futuna, il faut débourser 200 francs Pacifique pour pouvoir voter, soit 1 euro 68.

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