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Retour en Guyane pour la "Super Mamie France 2015"

Au programme : Retour en Guyane pour la "Super Mamie France 2015" élue dimanche dernier à Nice. Et puis sécheresse en Guyane, qui menace sérieusement l'agriculture. En Nouvelle-Calédonie, les autorités tentent de lutter contre le traffic de drogue chez les plus jeunes.
Article rédigé par Jean-Marie Chazeau
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
  (Retour en Guyane pour la "Super Mamie France 2015" élue dimanche dernier à Nice © Capture d'écran Guyane 1e)

Originaire de Mana en Guyane, âgée de 75 ans, Simone Marietta Patient Léhacault est rentrée au pays après sa victoire dimanche dernier à Nice lors de l’élection de Super Mamie France. Mère de 6 enfants, grand-mère de 21 petits-enfants, et de 3 arrières petits-enfants, elle a été accueillie par plusieurs dizaines de personnes, en musique, à l’aéroport Félix Eboué de Cayenne.

Comme plusieurs régions de l’Hexagone, la Guadeloupe est touchée par une sécheresse qui commence à impacter fortement les activités agricoles. Les pertes sont déjà conséquentes selon la présidente de la FDSEA, Maxette Grisoni, qui compte demander la reconnaissance de l’état de calamité agricole : "C'est de pire en pire, les bananiers sont en train de tomber, les maraichers sont en difficulté, ils n'arrivent même pas à planter et à récolter. Depuis 2010, on n'a pas eu une sécheresse aussi rude. Les pâturages sont grillés, il y a même des animaux qui meurent, parce qu'il fait trop chaud ".

Dans l’océan indien, à Mayotte, un pêcheur a ramené un dugong mort dans ses filets. Ce drôle d’animal, proche du lamantin, pourrait avoir été volontairement tué, geste passible d’un an de prison et de 15.000 euros d’amende. Il en resterait moins de dix spécimens dans le lagon de l’île aux parfums.

Une nouvelle opération coup de poing contre la drogue dans un lycée de Nouvelle Calédonie, où l’année scolaire est loin d’être terminée. Une trentaine de policiers a fait irruption au lycée Lapérouse de Nouméa. Une action répression-prévention demandée par le proviseur de l’établissement. Maigre bilan : une toute petite quantité de cannabis seulement saisie sur un adolescent. Mais une opération plutôt bien accueillie par les élèves. "Je pense que c'est une opération très utile, pour envoyer des signes à la population, aux élèves, aux jeunes. On ne peut pas venir en classe si on est sous la consommation de cannabis ", a dit le proviseur du lycée au reporter de Nouvelle-Calédonie 1e, Jean-Paul Treuil. 

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