Cet article date de plus de huit ans.

Tristan Savin : "Les trous du cul du monde"

Chaque pays possède son "trou du cul du monde". Une affirmation un peu irrévérencieuse mais qu’a pu vérifier Tristan Savin. Dans son nouveau livre, le brillant grand reporter et chroniqueur littéraire raconte ses trente ans de voyages au bout du monde. Beaucoup de malchances et de catastrophes et pourtant beaucoup de situations comiques.
Article rédigé par Philippe Vallet
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
Franceinfo (Franceinfo)

Résumé :

Pour Tristan Savin, chaque pays possède son « trou du cul du monde ». En trente ans de voyages lointains, ce drôle de curieux a eu l’occasion de vérifier cette assertion peu révérencieuse. Un trou du cul du monde (ou TDCDM, pour rester poli) désigne un lieu méconnu, de préférence sordide, voire hostile. Une ville oubliée des dieux, inévitablement galère. Un bout du monde, une zone frontière, un village fantôme, une mégalopole chaotique, un îlot paumé. La diversité des TDCDM est d’une richesse inépuisable... C’est surtout le genre de lieux où se produisent des phénomènes étranges. Une succession de malchances. Un enchaînement de catastrophes ! On sent que tout peut y arriver : devenir zinzin, se prendre le ciel sur la tête, assister en direct à la fin du monde... Les trous du cul du monde ont aussi la louable faculté de dévoiler au voyageur égaré tout un pan oublié de l’humanité… Zombies haïtiens, mère maquerelle des Galápagos, espion birman, petroleros d’Amazonie, racketteurs éthiopiens et dragons de Komodo... Les trente histoires de cet ouvrage vous invitent à embarquer pour le plus désopilant des tours du monde.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.