Au Mexique, réactions partagées devant la libération de Florence Cassez
Au Mexique, les réactions sont partagées après la libération de Florence Cassez. Plusieurs témoignages sont repris abondamment par les médias mexicains comme celui d'un otage présumé qui assure que c'est bien Florence Cassez qui l'a sequestré, menaçant de lui "couper un doigt ou une oreille ".
Les publications mexicainesdonnent la parole à des
organisations. Le président de la commission des droits de l'homme du
district fédéral prévient, dans l'hebdomadaire Cronica
de Hoy assure par exemple que le départ de Florence Cassez "enverrait un
message d'impunité" dans un pays où la loi a déjà du mal à se faire
respecter.
Invité du choix de France Info, Gilles Bataillon, co-directeur de la revue Problèmes d'Amérique latine . Le numéro en cour est consacré au Mexique. Pour lui, l'affaire Cassez est "terminée dans la partie bras de fer qui opposait la France au Mexique. Elle est le début au Mexique d'une reflexion nécessaire sur les dysfonctionnements de la justice ".
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