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"Ça fait partie un peu du folklore breton" : un entrepreneur breton ouvre son troisième restaurant de galettes au pays de la crêpe de blé noir

Un Breton vient d'ouvrir son troisième restaurant de galettes en plein coeur de Brest, dans le Finistère.

Article rédigé par franceinfo, Xavier Monferran
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 3min
  (FRED TANNEAU / AFP)

Une crêperie ça va, deux crêperies ça va, mais trois, ça fait débat. Même en Bretagne ! Jérémy est originaire des Côtes d’Armor, il vient d’ouvrir son troisième restaurant de galettes dans le centre-ville de Brest, dans le Finistère. Des galettes au pays de la crêpe de blé noir. Tonnerre de Brest. Mais Jérémy Le Troadec assume au micro de France Bleu Breizh Izel. "Ça fait partie un peu du folklore breton, certains disent crêpe de blé noir, nous on dit galette, on se chahute un peu, c'est bon enfant. Une galette ce n'est pas une crêpe", tranche le patron du restaurant. "On ne dit pas une crêpe-saucisse mais une galette-saucisse, c'est ce qui est marrant aussi mais c'est ce qu'on vend le plus. On a des projets futurs, on aimerait bien créer une crêperie dans le stade brestois, donc pousser le vice encore un peu plus loin."

Le ras-le-bol des agriculteurs contre les sangliers

En Haute-Saône, ce ne sont pas les galettes qui font débat, mais les sangliers. Ils font des ravages dans les champs du côté de Fougerolles, et les agriculteurs en ont ras-le-bol. Les sangliers ont proliféré dans le secteur ces dernières années, il faut donc en limiter la population, car il y a danger pour Florent Villemin, le porte-parole des agriculteurs de Fougerolles, au micro de France Bleu Besançon. "Tous les agriculteurs de Fougerolles sont remontés, après deux années de sécheresse il y a déjà une perte énorme en foin", déplore-t-il. "Un exploitant à Fougerolles a 9 hectares de foin en moins, donc ça peut jouer sur la pérennité de l'exploitation."

Retrouvailles et repérages avant le Tour de France

Le Tour de France se prépare. Pas au départ, pas encore, mais les coureurs sont de sortie pour repérer les lieux et les étapes. C’est le cas de Romain Bardet et de son équipe, qui sont en stage toute la semaine en Haute-Loire, au Chambon-sur-Lignon. L’heure est aux retrouvailles, et il était temps, pour Julien Jurdie, l’un des directeurs sportifs d’AG2R La Mondiale, avec France Bleu Pays d’Auvergne"Les visioconférences et le téléphone ça va bien cinq minutes. Le sport cycliste est un sport individuel mais qui se pratique en équipe. Donc la cohésion de groupe est très importante. Je pense que Romain sera vraiment ravi de retrouver ses équipiers", raconte Julien Jurdie. "Boire la petite tisane le soir avant d'aller se coucher, des petites balades avec les copains, l'entraînement... toutes ces choses manquent à l'intégralité de l'équipe et à Romain." Le Tour de France devait partir fin juin, il s’élancera finalement de Nice dans un peu plus de deux mois, le 29 août.

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