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Mon info. Au revoir Président !

Un salarié néo-zélandais vient à sa convocation pour licenciement accompagné d'un clown pour détendre l'atmosphère...

Article rédigé par franceinfo, Xavier Monferran
Radio France
Publié
Temps de lecture : 2min
Joshua Johnson (futur licencié) en compagnie du clown. (CAPTURE D'ECRAN TWITTER)

Et pourtant, sur le papier, il faut plutôt en pleurer qu’en rire. L’histoire se déroule à l’autre bout du monde. À Auckland, en Nouvelle-Zélande, dans une agence de publicité. Ce salarié, il s’appelle Joshua Thomson. Il est rédacteur publicitaire. Et il reçoit un e-mail peu encourageant, dirons-nous. Un peu vague, mais on lui parle de  "mauvaise nouvelle" et de  "réunion pour discuter de son rôle" dans l’entreprise, comme il l’a raconté au site néo-zélandais NewsHub.

Bon, en clair, c’est ce qu’on appelle une convocation à un entretien préalable au licenciement. Et ça, Joshua Thomson l’a bien compris. Mais il s’avère que la loi néo-zélandaise autorise le salarié à se faire accompagner par une personne de soutien. C’est alors que Joshua Thomson, en bon publicitaire qu’il est, a une idée. Quitte à partir, autant le faire avec panache. Ce qui me rappelle une publicité célèbre ici en France :


On voyait un salarié en caleçon et cravate, avec une tête d’oiseau, débarquer en pleine réunion pour signifier qu’il quittait l’entreprise. Eh bien là, Joshua Thomson a débarqué à l’entretien avec… un clown ! Oui, un vrai clown professionnel, à ses côtés. Une facétie qui lui a coûté 200 dollars, et qui a fait marrer tout le monde. Y compris la direction de son entreprise.

Pendant l’entretien de licenciement, le clown a fabriqué des animaux en ballon, un caniche et une licorne. Et au moment de signer les papiers du licenciement, il a aussi mimé des pleurs. Bon, Joshua a bien été viré, mais avec le sourire. Et rassurez-vous, il a déjà retrouvé du travail, puisqu’il a démarré lundi 16 septembre dans une autre agence de pub !

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