Cet article date de plus de douze ans.

Quand Paris chante

Paris c'est forcément, encore et toujours la nostalgie. Juste avant la guerre dans la Casbah d'Alger, Jean Gabin court après sa perte. Et Frehel chante le mal du pays. C'est Pépé le Moko.
Article rédigé par Pascal Delannoy
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1 min
  (©)

Paris
unique, en tout cas pour ceux qui l'aiment à la folie. "La seule ville
qui soit aussi un monde"
comme l'écrit joliment Philippe Meyer dans le
livre qui accompagne l'événement.

Si vous
n'avez pas la chance de visiter l'expo, l'ouvrage réunit tout ce qu'il faut
savoir de cette passion entre la musique et la capitale. Cela a commencé au
Moyen Age mais c'est le vingtième siècle qui a consacré ce mariage d'amour.

C'est par
exemple ces chanteurs de rue Place de la Bastille, des hommes et des femmes,
nous sommes en 1900.

 

Comme
Dutronc et tant d'autres, c'est sans doute Léo Férré qui a le plus aimé et
parfois détesté Paris.


Paris en
chansons
.
Un livre, une expo. Le voyage continue la semaine prochaine.

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