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Loin de tout, au milieu de l’Atlantique sud, l’archipel de Tristan da Cunha

Tristan da Cunha, du nom de ce navigateur portugais qui découvrit l'île en 1506. Une terre basaltique bercée par la houle où vit une petite communauté britannique. Ici pas d’aéroport, on ne peut accéder que par la mer, à raison de neuf bateaux par an.
Article rédigé par Sandrine Marcy
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
"Planète Géo" : une photo, un reportage, une carte ou un portrait issus du magazine "Géo". (ARTHUR DEBAT / GETTY IMAGES)

Elles étaient sept familles au départ ; en 1816, des soldats anglais déposés par la Couronne anglaise décidèrent de rester et fondèrent une société égalitaire. Jusqu’à la fin de la seconde guerre mondiale, la pomme de terre servait de monnaie locale !

  (© Géo Jon Tonks)

Aujourd'hui, ce territoire d’outremer britannique compte 267 habitants et la langue de Shakespeare s’est transformée au fil des années : on y parle un anglais créole.

Moyenne d’âge : 50 ans, et un quart de la population n’a jamais quitté l’île. Les jeunes, eux, vont suivre une formation sur le continent africain. D’un côté le Brésil, à 3.000 kilomètres, de l’autre l’Afrique du sud à 2.800 kilomètres, et au milieu de leur route d’échanges maritimes, ce microcosme dont le style de vie fait rêver !

Les habitants vivent de leurs cultures, d'élevage.

Jean-Christophe SERVANT, journaliste au magazine Géo  a eu le privilège de rencontrer ces habitants.

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