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Planète Géo. La séduisante Lisbonne

Une escapade toute trouvée au printemps : Lisbonne. La ville est devenue LA destination en vogue des vacanciers et une grande capitale européenne d'avant-garde.

Article rédigé par franceinfo, Sandrine Marcy
Radio France
Publié
Temps de lecture : 1min
"Planète Géo" : une photo, un reportage, une carte ou un portrait issus du magazine "Géo". (ARTHUR DEBAT / GETTY IMAGES)

A Lisbonne, les artisans des vieux quartiers côtoient des boutiques à la mode ou de design, les bars tendance ont fleuri dans certains quartiers.

Alfama

Alfama, quartier populaire le plus emblématique du vieux Lisbonne est aujourd'hui devenu le quartier jeune et tendance mais aussi menacé par les touristes. Ces derniers, hébergés dans des appartements loués par des particuliers, poussent les habitants à partir sous la pression immobilière.

Principe Real

Ce quartier est né sur les ruines du tremblement de terre de 1755...et à Lisbonne, c'est celui qui a le plus évolué : boutiques haut de gamme, cafés, restaurants bobos et bios attirent les touristes, mais on croise également des habitants plutôt aisés venus faire leur shopping dans les magasins.

Le Chelas

Les barres d'immeubles furent construites dans ce quartier Est de la ville, dans les années 1970 et 1980 pour faire face à l'exode rural. A leurs pieds ont poussé quelque 400 jardins potagers devenus presque attractifs, et avant tout une nécessité pour une population modeste, pendant la crise de 2008.                     Le Chelas compte quelque 40.000 habitants.

 Cova da Moura

Le quartier montre une autre réalité de Lisbonne... Il évoque les favelas du Brésil, peuplé en grande partie de la population lisboète d'origine africaine. 

Lisbonne ville devenue cosmopolite, et dont l’héritage africain reste fort :             l'apport culturel transparaît par exemple avec le fado, une danse et un courant musical importés au début du XIXe siècle.

Street art

Lisbonne s'est forgée une belle identité grâce au street art : des pointures internationales comme le graffeur espagnol SAM3 ou encore Alexandre Farto alias Vhils, sont venues nourrir les rues et parkings de leurs sculptures : 600 oeuvres sont déjà soutenues par la ville.

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