: Vidéo "13h15". Les Verbatims. Primaire de la droite et du centre : le débat sur les Gaulois
"Les Verbatims" sont de retour dans le magazine "13h15 le dimanche". Ce quatrième chapitre met en scène le premier grand débat télévisé entre les sept candidats (incarnés par des comédiens) de la primaire de la droite et du centre. Les dialogues retranscrivent fidèlement une série d'entretiens avec les candidats et/ou leurs équipes… Extrait de "13h15 le dimanche" du 9 octobre.
La fiction politique du magazine "13h15 le dimanche" signe son quatrième volet à un mois et demi de la primaire de la droite et du centre qui se tient les 20 et 27 novembre 2016. Pour ce quatrième chapitre, "Les Verbatims" mettent en scène le premier grand débat télévisé entre les sept candidats incarnés par des comédiens…
Le scénario et les dialogues de cette création originale retranscrivent fidèlement une série d'entretiens menés par le "13h15" avec les candidats et/ou leurs équipes. Le journaliste Franz-Olivier Giesbert (le vrai) affirme ne pas pouvoir échapper au débat sur les Gaulois… et demande aux candidats si les Français sont des Gaulois. Ils répondent dans l’ordre établi par le tirage au sort :
> Jean-François Copé : "Monsieur Sarkozy a annoncé un débat un peu absurde sur les Gaulois. Vous imaginez Angela Merkel déclarer aux Allemands 'Vos ancêtres sont les Wisigoths' ? Cela ferait hurler de rire l’Europe entière. Ce type de polémique a un but : Nicolas Sarkozy court après les électeurs de droite partis au FN."
> Nathalie Kosciusko-Morizet: "Excusez-moi, mais ce débat sur les Gaulois est débile et hallucinant. J’ai deux enfants qui vont à l’école et j’attends d’autres réponses pour leur sécurité que de savoir si leurs ancêtres étaient gaulois. Quant à Jean-François, il semble découvrir un peu tard qu’on n'a rien à gagner à draguer les électeurs FN."
> Alain Juppé : "Certains de mes concurrents tentent de dicter le tempo de la campagne. Je regrette moi aussi la nullité de ces débats politiques. On débat des Gaulois… restons sérieux deux minutes, si vous le voulez bien. Parlons de l’avenir !"
> Nicolas Sarkozy : "Je ne savais pas que ce débat provoquerait autant de réactions au sein de ma propre famille politique. C’est de la France silencieuse dont je veux parler. Celle qui s’interroge sur ce qu’elle pourra transmettre à ses enfants et petits-enfants. Si on n’est pas ému par le roman national, alors, on n’a rien compris à la France."
> "Les Verbatims"... à (re)voir :
- Chapitre 1 > La primaire de la droite et du centre
- Chapitre 2 > Gauche, la foire d'empoigne
- Chapitre 3 > Le FN, un parti en crise
- Chapitre 4 > Le premier débat pour la primaire de la droite et du centre
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