Cet article date de plus de deux ans.

Affaire Patrick Poivre d'Arvor : nouvelle plainte pour viol contre l'ancien présentateur de TF1

Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
Affaire Patrick Poivre d'Arvor : nouvelle plainte pour viol contre l'ancien présentateur de TF1
Affaire Patrick Poivre d'Arvor : nouvelle plainte pour viol contre l'ancien présentateur de TF1 Affaire Patrick Poivre d'Arvor : nouvelle plainte pour viol contre l'ancien présentateur de TF1 (France 3)
Article rédigé par France 3 - B. Delombre, R. Verley, M. Descoubès, M. Bozo, R. Laurentin
France Télévisions
France 3

Une nouvelle plainte pour viol vise Patrick Poivre D'Arvor, jeudi 28 avril. Cela porte à 26 le nombre de femmes ayant témoigné contre lui. Ces nouveaux faits auraient eu lieu en 1995. Les équipes de Complément d'enquête ont pu recueillir le témoignage de la nouvelle plaignante.

Patrick Poivre D'Arvor est de nouveau visé par une plainte pour viol. Les journalistes du magazine Complément d'enquête ont recueilli le témoignage d'une femme qui affirme avoir été l'une de ses victimes. Alors qu'elle était jeune journaliste à TF1, elle confie avoir été agressée par le présentateur un soir de février 1995. Il l'aurait invité dans son bureau. "Il se lève, il fait le tour de son immense bureau, il vient s'asseoir à côté de moi, il met ses mains sur mes épaules et il m'embrasse. (...) Mon corps était là, mais moi je n'étais plus là. (...) Il a enlevé son pantalon et il m'a violé", raconte-t-elle.

Les faits sont prescrits

Quelques jours après, Patrick Poivre D'Arvor aurait de nouveau cherché à l'agresser. Elle vient de porter plainte contre l'ancienne star de la télévision française. Ces derniers mois, 16 autres femmes avaient déjà porté plainte contre lui. Les faits étant prescrits, l'enquête a été classée. Mais l'ex-journaliste a annoncé qu'il allait porter plainte contre ces femmes pour dénonciation calomnieuse. Son avocat affirme que cela n'est pas le but de les faire taire, mais d'éviter que les "mêmes mensonges" soient répétés.



Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.