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Législatives 2022 : bras de fer entre LFI et LREM, ministres en mauvaise posture... Journal de campagne du mardi 7 juin

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Législatives 2022 : bras de fer entre LFI et LREM, ministres en mauvaise posture... Journal de campagne du mardi 7 juin
Législatives 2022 : bras de fer entre LFI et LREM, ministres en mauvaise posture... Journal de campagne du mardi 7 juin Législatives 2022 : bras de fer entre LFI et LREM, ministres en mauvaise posture... Journal de campagne du mardi 7 juin (France 3)
Article rédigé par France 3 - C. Motte
France Télévisions
France 3

Mardi 7 juin, la journaliste Caroline Motte présente depuis le plateau du 12/13 le journal de campagne des élections législatives. À l’ordre du jour, le combat entre la République en marche et La France insoumise, et des ministres en mauvaise posture.

Mardi 7 juin, à cinq jours du premier tour des élections législatives, le bras de fer entre la France Insoumise et la République en marche se précise. Une petite phrase familière a mis le feu aux poudres. "C’était [lundi] matin sur Sud Radio : voilà la réponse de Manuel Bompard à Emmanuel Macron, qui avait affirmé qu’il ne nommerait pas Jean-Luc Mélenchon Premier ministre : "Bah si, bonhomme, tu vas le nommer". Alors, peut-on interpeller le président de la République de la sorte avec ce mot "bonhomme" ? La formule n’est pas du goût de la majorité", interroge la journaliste Caroline Motte, sur le plateau du 12/13

Des ministres en mauvaise posture

Élisabeth Borne est considérée en bonne posture dans le Calvados, où elle se présente. En revanche, d’autres candidatures de ministres sont sur la sellette. "La plus menacée, c’est Justine Bénin, la secrétaire d’État à la Mer qui se présente en Guadeloupe, là où LFI a fait de très bons scores à la présidentielle", rapporte la journaliste. 

À Paris, Clément Beaune, le ministre délégué à l’Europe, va devoir batailler dur contre l'alliance de la gauche, qui "espère faire tomber deux autres macronistes" : la ministre en charge de la Transition écologique, Amélie de Montchalin, dans l’Essonne, ainsi que le ministre de la Fonction publique, Stanislas Guérini. 

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