TGV bloqués : la SNCF confirme le suicide d’un conducteur

Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min - vidéo : 1min
En pleine nuit de Noël, un drame a eu lieu en France. Un conducteur de train s’est suicidé en sautant d'un train en marche sur la ligne Paris-Sud-Est. Dans les rames, les passagers étaient loin de s’imaginer ce qui se passait, déplorant simplement d’importants retards.
TGV bloqués : la SNCF confirme le suicide d’un conducteur En pleine nuit de Noël, un drame a eu lieu en France. Un conducteur de train s’est suicidé en sautant d'un train en marche sur la ligne Paris-Sud-Est. Dans les rames, les passagers étaient loin de s’imaginer ce qui se passait, déplorant simplement d’importants retards. (France 2)
Article rédigé par France 2 - E. Tixier, L. Sabas, @LesRevelateursFTV
France Télévisions
En pleine nuit de Noël, un drame a eu lieu en France. Un conducteur s’est suicidé en sautant d'un train en marche sur la ligne Paris-Sud-Est. Dans les rames, les passagers étaient loin de s’imaginer ce qu'il se passait, déplorant simplement d’importants retards.

L’incident est extrêmement rare. Selon la SNCF, un conducteur aurait mis fin à ses jours alors que le train était en marche. Le dispositif de sécurité s’est enclenché et a immobilisé la rame.

Le drame a eu lieu mardi 24 décembre à 20h00, dans le sud de la Seine-et-Marne. Ce mercredi matin, les passagers qui sont restés bloqués n’en reviennent pas. "On ne s’imagine pas qu'un train sans conducteur puisse partir tout seul, cela aurait pu être beaucoup plus grave. Cela aurait pu être un train entier qui part à la dérive avec beaucoup de passagers à l’intérieur", raconte un usager de la SNCF.

Le trafic perturbé

L’incident a eu des conséquences importantes sur le trafic. Six trains ont été bloqués et une dizaine d’autres retardés. À bord, les passagers ne s'attendaient pas à vivre un tel réveillon de Noël. Les circonstances du drame étaient alors inconnues.

Regardez l'intégralité du reportage dans la vidéo ci-dessus.

Lancez la conversation

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour commenter.