Seine-Saint-Denis : un jeune homme est mort, percuté par un véhicule de police après un refus d'obtempérer

Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min - vidéo : 2min
Un jeune homme en scooter est mort mercredi 13 mars après une collision avec une voiture de police, à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis). Deux enquêtes ont été ouvertes, dont une pour refus d'obtempérer.
Seine-Saint-Denis : un jeune homme est mort, percuté par un véhicule de police après un refus d'obtempérer Un jeune homme en scooter est mort mercredi 13 mars après une collision avec une voiture de police, à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis). Deux enquêtes ont été ouvertes, dont une pour refus d'obtempérer. (franceinfo)
Article rédigé par franceinfo
France Télévisions
franceinfo
Un jeune homme en scooter est mort mercredi 13 mars après une collision avec une voiture de police, à Aubervilliers, en Seine-Saint-Denis. Deux enquêtes ont été ouvertes, dont une pour refus d'obtempérer.

La garde à vue du passager du scooter a été levée dans la matinée du 14 mars. À Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), les habitants s'interrogent sur les événements de la veille. "Les policiers, qui poursuivaient une personne, et la personne a percuté une voiture qui est sur le côté (...) c'est la moto qui a percuté la voiture", raconte une femme témoin de la scène. Les secours ont essayé de ranimer le conducteur du scooter dans la soirée du 13 mars.

Une enquête pour homicide et blessures involontaires

Vers 19h20, une violente collision entre le deux-roues et le véhicule de police a eu lieu. D'après la version des forces de l'ordre, le conducteur du scooter aurait refusé d'obtempérer. Pris en chasse par une première voiture de police, le jeune homme de 19 ans aurait percuté un second véhicule de police, arrivant en face. Le conducteur, un jeune homme de 18 ans, est mort dans les heures qui suivent. Une enquête a été ouverte pour homicide et blessures involontaires et a été confiée à l'IGPN. Une seconde a été ouverte pour refus d'obtempérer.  

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.