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Daniel Cordier, l’homme qui aurait voulu débarquer

Il y a ceux qui ont débarqué, et ceux qui n'ont pas débarqué et le regrettent encore. C'est le cas de Daniel Cordier, compagnon de la Libération, ancien secrétaire de Jean Moulin. Témoignage.
Article rédigé par Sébastien Paour
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
  (© RF)

Il y a ceux qui ont débarqué, et ceux qui auraient bien aimé. C'est le cas de Daniel Cordier, compagnon de la Libération, ancien secrétaire de Jean Moulin. Le 6 juin, il est de retour à Londres, après avoir travaillé avec le chef de la Résistance en France, jusqu'à son arrestation un an auparavant. Dans cette vidéo, il raconte son "regret de ne pas y être, parce que je ne m'étais jamais battu, j'étais parti pour tuer des Boches et j'en avais tué aucun ", dit-il.

 

Daniel Cordier se souvient de l'aube du 6 juin. Ce matin-là, il fait beau dans la capitale anglaise : "Je dormais la fenêtre ouverte, j'ai entendu un bruit inhabituel qui m'a réveillé et qui paraîssait considérable, je suis allé à la fenêtre, j'ai levé les yeux, et le ciel était noir d'avions ".

 

 

 

 

 

 

 

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