Guerre en Ukraine : quels soutiens politiques pour Vladimir Poutine ?
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Plusieurs alliés historiques ont soutenu l'action de Vladimir Poutine en Ukraine. La Tchétchénie a accepté d'envoyer son armée, tout comme la Biélorussie. En revanche, le Kazakhstan, a refusé d’envoyer des soldats envahir l’Ukraine.
Sur la scène internationale, certains pays ont affiché leur soutien à Vladimir Poutine et son action contre l’Ukraine. C’est le cas de la Biélorussie. Le pays a accueilli 30.000 soldats russes avant que ces derniers ne pénètrent en Ukraine depuis la Biélorussie. Autre soutien indéfectible : la Tchétchénie. Dès le début de l’invasion, le dictateur Ramzan Kadyrov a mobilisé son armée. Des milliers de combattants vêtus de noir sont venus épauler l'armée russe engagée en Ukraine. C’est aussi le cas de la Syrie où son dirigeant Bachar Al Assad a indiqué se tenir "aux côtés de la Russie".
Le Kazakhstan a refusé d’envoyer son armée
En revanche, d’autres pays n’ont pas encore clairement défini leurs positions. La Chine s’est contentée de "soutenir la Russie dans la résolution du conflit par le biais de négociations avec l’Ukraine". De son côté, l’Iran a précisé que "la guerre n’était pas une solution". Enfin, le Kazakhstan, allié historique de la Russie, a refusé d’envoyer son armée envahir l’Ukraine au côté de la Russie.
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